Mi-mai, il fait chaud, très chaud, beaucoup trop chaud ! S’il nous fallait une preuve de plus pour comprendre que la planète est en surchauffe, elle est là.
Que faire ? La tâche paraît ardue, tellement ardue qu’on pourrait être démotivé avant même de tenter quoi que ce soit. D’autant plus avec une activité comme la nôtre qui, pour être honnêtes, est loin d’être très « verte ». Alors bien sûr, on pourrait se dire à quoi bon ? Mais ça, ce serait mal connaître GOYON qui ne recule jamais devant un défi. Et ce d’autant plus quand le projet est piloté par Sophie MULTIN, notre Responsable RSE, qui a transformé le « à quoi bon » en « par où commencer » en deux temps trois mouvements (et quelques longues réunions, il faut bien l’avouer).
Après un état des lieux concret qui nous a fait prendre conscience du volume de déchets DIB (déchets industriels banal) généré par GOYON, les faits se sont imposés : il nous fallait agir.
Pour une meilleure gestion des déchets, des seaux ont été mis à disposition de chaque poste dans l’atelier, des bacs et containers ont été installés. Le papier, le carton et les cartouches d’encre utilisés dans les bureaux sont désormais récupérés et revalorisés. Au réfectoire, les ordures ménagères partent dans une poubelle, les cartons et papiers non souillés dans une autre.
La machine à café a suivi le mouvement. Fini la distribution automatique du café dans un gobelet unitaire jetable. Désormais, nous avons tous à disposition une tasse réutilisable. Et pour la fontaine à eau, une gourde fait très bien le boulot.
Bref, nous sommes prêts. Mais être prêts n’est pas suffisant. Le plus important reste à venir. Il va falloir changer nos habitudes, oublier nos vieux réflexes (que celui qui n’a jamais fait couler son café dans le vide me jette la première pierre !) et c’est souvent ce qu’il y a de plus difficile. Mais gardons à l’esprit que chaque geste compte jusqu’au jour où l’on se dira mais pourquoi ne l’a-t-on pas fait avant ?
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